Les chroniques des Chevaliers

Toujours ce même rêve dont je n'arrivais pas a me débarasser, cette île, cette quête, mes camarades... Notre Roi.
Pour la première fois depuis plus d'un mois j'ouvrit les yeux, j'était sur une plage au bord de l'eau, ma tête me faisait attrocement souffrir et mes articulations me brûlaient.
Je regarda autour de moi et ne vit rien de plus que quelques mollusques et crustacés, je me leva péniblement et vu que la pluspart des pieces de mon armures avaient disparuent et que mon armes n'était plus dans son fourreau.

Un souvenir me revînt enfin, le Roi détronant l'épée de son socle puis une explosion, un flash, et enfin cette plage. J'avais du être sonné par le réveil de cette arme mystique et mon corps avait du voyager au gré des courants marins.

*J'espère qu'il n'en ai pas autant pour mes confrères, j'espère qu'ils sont toujours près de notre bon Roi.*

Après avoir repris pleine posséssion de mes esprits je regarda mes mains et vu une lueur émanante de mes gants de mailles, une lueur legerement violette. Puis je me demanda pourquoi après ce long temps d'inconscience que je ne pouvais déterminer exactement je n'avais ni faim ni soif et pourquoi je semblait en assez bonne santé.
Je m'approcha de l'océan qui me renvoiya mon image, celle d'un chevalier damné à moitié vivant, la peau de mon visage et de mes bras était de couleur grisâtre, mes yeux reflétaient la mort et une aura de ténêbre m'embrasait.

*Suis-je? Suis-je mort?*

Cette question me trottait dans la tête, je trouva un chemin sur ma droite et décida de le suivre, mon corps était encore tout engourdi et je me traînait plus que j'avancai réellement. Quelques mètres plus loin je vit un marchand ambulant et je décidai de le questionner.

"Bien le bonjour mon brave, pouvez vous me dire où je suis et quand somme nous?"

Le marchand me regarda avec un air térrifié, je ressemblait surement plus beaucoup a une être vivant pour lui.

"Nous.. Nous sommes a 5 lieux du désert Sud du Safrian. Cela fait bientot 30jours que le Roi est revenus de sa fabuleuse quête et qu'il a ramené sans l'aide de personne l'épée magique."

Ce qu'il dit m'éttona, sans aide de personne? Le Roi aurait il menti pour se donner tous les mérites en nous évinçant?
Je remercia le marchand et lui acheta une grande éttofé noire avec ma bourse toujours accroché a ma ceinture et j'en fit une toge pour ne pas me faire trop remarquer avec ma nouvelle apparence.

Après plusieurs jours de marches dans le terribles désert je tomba sur une petit ville qui était peuplé en plein milieu de ce climat d'aridité.
Je décida d'y entrer pour prendre des nouvelle du royaume.
En entrant personne ne fit attention a mon déguisement car tous étaient drappés de toge pour résister au terribles vent du Désert. Après avoir interpellé quelques citoyens pour me renseigner plus précisément je dédidait d'aller voir un armurier pour pouvoir reprendre un accoutrement de chevalier.

"Bonjour forgeron, je voudrait deux épées et une armure complète."
Le forgeron était en train de tapper sur du fer brûlant et ne mevoyait pasil était de dos et ne semblait pas faire attention a ce que je lui disait.

"Je te payerai 75pieces d'or véritables."

Le forgeron lacha subitement son marteau et me regarda, ilne vit que mon regard ténébreux mais aquiesca et me vendit sa plus belle armures totalement en fer blanc avec des décoration en saphir sur les épaulieres et les gants. Il me montrat aussi un longue épée a deux mains très massif et une dague a double tranchant. J'accepta son équipement et commenca a prendre en main l'épée pour tester mes aptitudes, en la prennant en main l'épée commenca elle aussi a dégager une lumiere violette puis des sortes de lianes sortirent de ma main et envellopèrent l'épée. Je ne savait pas quel était cette malédiction et je ne pouvais retirer ma main de cette épée maudite.
Les lianes de l'enfer se retirèrent et laissèrent place à l'épée qui était devenu totalement noire et qui portait des crânes sur sa garde.

*Tout... Tout ce que je touche devient malfaisant, quel est ce maléfice dont je suis la proie je ne peut y croire je suis un chevalier non un nécromancien!*

Ainsi toute l'armure et la dague réagirent à mon pouvoir que je voulais rejetter et je fût ainsi affubler d'une armure d'un noir sombre, le heaume portait fierement deux cornes de bélier, les épaulières étaient surmonté de petites ailes en métal, ma dague était en os. J'était devenu malgrés moi un chevalier noir et je ne savais rien de ce qui se passait ici et de ce qu'il en était de mes compagnons...

[Seuls les F-K peuvent poster une suite de leurs aventures, j'ai décider de jouer ici un chevalier damné qui devra supporter les tenebres malgrés lui tout en voulant rester du bon coté pour l'instant...]
[Deux chevaliers peuvent se rencontrer si l'un des deux le décide mais vous devrez attendre quele chevalier est deja posté une fois. (perso pour l'instant je rencontre personne je suis dans le désert^^)]